Bien sûr j'ai envie de m'exprimer pour parler de ce film, mais bien entendu, il vaut mieux ne rien dire que d'étaler, comme une confiture des impressions qui ne sont que purement subjectifs. C'est d'ailleurs un des sujets traités, l'absence de parole, le besoin de silence sont recherchés comme un manque inexpliqué, comme une douleur qui ne veut pas sortir, mais qui doit accoucher tout de même. 

De la poèsie en barre, vendue, jetée criante, au kg et en couleur.

Un passage rituel pour devenir celui qui veut partager une vie japonaise que nous adorons déjà avant même de pouvoir la comprendre. Une vie quotidienne qui est banale...? Non, ce monde d'artistes à la force de pouvoir se battre pour exorciser le mal contre toute attaque. LA souffrance est comprise sans devenir lourde et embarrassante. L'amour est synonyme d'érotisme car c'est bien au final ce que nous devons encore comprendre. L'amour est la seule arme absolue et véritable contre toute attaque du mal... On va exorciser le mal pour lui faire comprendre que la seule et véritable force valide et validée, est et sera toujours l'amour, la vie, la nature, l'Art...... On ne peut pas tout dire tellement la vie est simple.