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Questions politiques

Le cerveau. L’analyse. La capacité à pouvoir toucher le critique constructif… tellement loin des codes de séduction.

 

Je rêve de vivre dans un monde asexué.

 

Trouver la concentration dans mon idėal de construction.

 

Montrer ma haine devant ces machines institutionnelles. Devant ce pouvoir d'achat stupide. Cela avec une profonde peine.

 

Cracher sur le capitalisme. Le pouvoir. Les religions. Cracher sur ceux qui vont créer des écoles au service des plus puissants.

 

Crier encore et pleurer lorsque l’on voit la perte des valeurs fondamentales. Pouvoir rêver d'un positivisme  actif..

 

Pitié; trouver la solution bénéfique pour un monde culturel.

 

Pleurer devant l’imbécile bus qui véhicule la bêtise raciste. La stupidité du consumėrisme.

 

Faire comprendre à tous que le bonheur n’est pas d’avoir le permis. La voiture. La montre en Or… mais bien de savoir lire pour pouvoir ouvrir tous ces romans écrits au cours de l’histoire de notre littérature.

 

Le bonheur est de partager un coin de ciel bleu avec une âme riche et de vouloir partager encore le beau.

 

Je ne peux plus supporter ces intellectuels qui sortent des grandes écoles pour créer une fois de plus une société inégale. Une volonté à toujours aller plus vite pour rationaliser et assécher la possible vision d’un monde constructeur. Équitable. Biodiversité...de mon cul. Un monde généreux dans sa conception.

 

Pourquoi croire dans le partage alors que l’on peut s’enrichir de quelques billets supplémentaires

 

Ma vie aura été pleine d’utopies. Mais j’ai réussi à tuer la chimère suceuse d’énergie.

 

Oui. Une sangsue au service d’un monde qui assèche les âmes désireuses de créer du bien pour mieux profiter aux nobles de nos époques.

 

Je suis certainement investi d’une mission alors que cette image me colle à la peau.

 

Certainement le fruit de mes désirs frustrés et mal canalisés.

 

La vie est devenu pathétique subitement.

 

Moi qui était l’archétype du positif.

 

Le disciple de cette énergie vivante.

 

Mon désenchantement n’a pas qu’une seule source.

 

Ceux qui me connaissent trouveront leur propre vérité face à ce visage triste à mourir.

 

Nos sociétés vont créer de futurs chômeurs sans jamais réfléchir aux consėquences.

 

Il serait pourtant tellement plus simple de construire de grandes écoles pour apprendre à créer. Construire pour l’avenir. Devenir des acteurs d’un monde positif pour nos enfants. Non pas des écoles pour apprendre le marketing hideux sous toutes ces faces.

 

Moi. Misérable au milieu de tout cela n’a aucune envie de croire dans un futur prometteur.

 

Au contraire on assiste au retour de pouvoir des mafieux. Souvent même aux mafias légiférées à la botte des puissants.

 

Alors oui. Les hommes politiques de nos pays ont bien raison d’en profiter puisqu'on laisse faire leurs salades avec le plein pouvoir.

 

Dites à vos enfants de dire à leurs enfants de ne jamais oublier de dire à leur petits enfants combien il est essentiel de savoir lire De Balzac et savoir absolument écrire avec un crayon sur un papier.

 

Sinon votre famille est perdue.

 

Ceci dit dans l’optique la plus positive.

 

Vous partez vivre sur une île déserte. Prenez une femme pour enfanter et un crayon à papier avec du papier.

 

Apprendre à pêcher pour survivre.

 

Ma frustration, mon désespoir face à ma misère d’avoir perdu le goût. Oui tout ceci me donne cela.

 

L’ultime souffle avant de tomber pour vous dire de ne pas être aveuglé par ce miroir aux alouettes. Travailler jusqu’à l’ultime fatigue pour écrire.. vivre. Vibrer. S'enivrer de cette vie. S’enivrer de vin, de vertus ou de poésie.

 

 

https://www.poesie.net/baudel1.htm

 

 

 

Ce temps assassin. Ce fardeau vous écrase. Rien ne pourra contredire cela.

 

Une fois la définitive histoire concernant l’amour enterrée. Brulée. Piétinée.. il faut trouver une ivresse opposée.

 

L’opposition est pleine de promesse.

 

La figure de l’homme est balafrée… il reste donc… le temps de devoir cicatriser. Il reste la force vive et implacable de la désillusion.

Illusions

Ces dessins datent de l'année 2013. 

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