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Février 2015.

Divina
Minh Tran

Février 2015 est le mois charnière pour procéder à un archivage de mon ancien Facebook.

Ce média social est une bonne idée, très utile, mais il faut bien le dire, les limites de Facebook sont visibles très vite.

Je vais donc archiver photos et articles ici, pour mon seul plaisir, après avoir effacé jour après jour chaque article.

C'est le 01 février 2015 que j'organise une rencontre avec plusieurs modèles.

musée de l'AO DAI dans le district 9

C'est également en février 2015 que je découvre le meilleur restaurant de cuisine Vietnamienne de la ville.

Ce fût également le mois de mon inscription chez The ArtstacK, site que j'aime bien finallement.

C'est en février 2015 que je décide de vouloir créer une exposition pour aider les enfants du Dragon.

Cette exposition aura bien lieu, mais la portée de nos efforts n'a pas été celle escomptée.

Dépense d'énergie et d'argent pour si peu de résultat.

Je ne désespère pas pour trouver d'autres solutions. A suivre

un poème de Victor HUGO

Lorsque l'enfant paraît - (Victor Hugo)

 

Lorsque l'enfant paraît le cercle de famille 
Applaudit à grands cris ; son doux regard qui brille 
Fait briller tous les yeux, 
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être ? 
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître, 
Innocent et joyeux. 

Enfant vous êtes l'aube et mon âme est la plaine 
Qui des plus douces fleurs embaume son haleine 
Qu'on ose pas toucher, 
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire 
On rit, on se récrie, on l'appelle et sa mère 
Tremble à le voir marcher... 

Les yeux des enfants ont une douceur infinie, 
Et leur petites mains, joyeuses et bénies, 
Ignorent le mal encore ! 
Jamais, vos jeunes pas n'ont touché notre fange, 
A l'auréole d'or ! 

La nuit lorsque tout dort, quand l'esprit rêve, à l'heure 
Où l'on entend parfois une petite voix qui pleure, 
Sur des ailes d'azur, 
Sans le comprendre encore, vous explorez le monde. 
Double virginité : corps où rien n'est immonde, 
Ame où rien n'est impur ! 

Il est si beau l'enfant avec son doux sourire, 
Ses deux grands yeux ouverts qui ne savent pas mentir. 
Dans le mal triomphant : 
Préserve-moi Seigneur, d'été sans fleurs vermeilles, 
De cage sans oiseaux, de ruche sans abeilles, 
D'une Maison sans enfants ...
(Les feuilles de l'Automne, XIX)

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