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Le Bonheur

Mais quelle force donne le bonheur ? Hmm, disons plutôt, qu'elle image permet au bonheur de pouvoir nous transformer au point de devenir un âne.

J'ai ma petite idée là dessus.

C'est au moment où 'j'ai voulu créer un livre sur le bonheur que celle que j'aimais m'a annoncé qu'elle en aimait un autre. J'étais jeune et heureux. Certainement insouciant, mais croire au bonheur , dire aux autres que le positif entre en vous si vous le voulez... oui c'est de la stupidité.

Philippe Franchini dans Continental Saigon écrit à juste titre. Si le savoir est une chose importante, si une tête bien faite est capital pour sa santé mentale... cela reste tout de même inutile lorsque votre bonne étoile vous a quitté.

C'est au moment où l'âne de service apporte sur un plateau toute sa substantifique moelle, afin de mieux pouvoir  le décapiter.

Devons nous toujours être sur nos gardes ?

Est ce le propre de la vie ?

Oui certainement.

Aucune souffrance n'est utile si vous n'avez pas analyser la source.

Ce que je crois aujourd'hui n'est pas important. Ce que je sais l'est beaucoup plus.

Jamais nous devons écouter ce que peuvent dire les autres, car la force de nos convictions ne sont belles que si elles gagnent dans l'action.

Cette action que j'ai désiré. Mal organisé, j'ai dû tomber et essayer de me relever. Le mal sait planter ses épines, le bien est éphémère.

Je ne veux pas parler du bonheur, car le vrai bonheur vous glisse des mains avant même que vous puissiez en l’attraper.

Marguerite Duras a écrit un jour.

" "Des fois on a peur de mourir avant que la page soit pleine. [...] On connaît les repères, on connaît l'événement auquel on veut aboutir, mais il faut amener le texte à ça. [...] Je pense que c'est, effectivement, l'activité qui fait que la pensée de la mort est là chaque jour."
Marguerite Duras à Luce Perrot, 1988."

Oui c'est cela, tout cela tient en quelques phrases.

libre
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